Pourquoi Clinique Émotionnelle existe ?

• Mon histoire

  Je m’appelle Marlynne, j’ai toujours été une grande sensible. Des sensibilités que l’on apprend à cacher, et que j’ai longtemps refoulées en moi. Des larmes qu’on ravale, des émotions que l’on apprivoise en silence, des fragilités qu’on dissimule derrière des sourires polis.

  
  J’ai longtemps fait partie de celles-là. De celles qui ressentent tout intensément, qui pleurent vite, rient fort, doutent souvent, mais aiment profondément. Trop subtiles pour un monde qui ne laisse que peu de place à la nuance. Longtemps, j’ai cru que ma sensibilité était une faiblesse. Puis j’ai compris qu’elle pouvait devenir une force. Une lumière. Un langage.

  Je suis passionnée par les petites attentions délicates qui font toute la différence au quotidien, par les silences qui parlent, par les gestes qui soignent sans bruit. Hypersensible assumée, rêveuse déterminée, j’ai longtemps attendu que quelqu’un crée ce que je ne trouvais nulle part : une marque qui résonne avec les émotions, les imperfections, les douceurs de l’âme.

  Ne trouvant pas cette marque qui résonne vraiment avec mes émotions et mes valeurs, j’ai décidé de prendre les devants et de me lancer moi-même.

• La naissance de Clinique Émotionnelle

  Clinique Émotionnelle est née de ce cheminement intérieur, de ce besoin profond de créer un refuge, un cocon rassurant à travers des objets simples. Créer un espace où les émotions ont le droit d’exister pleinement, sans être jugées ou minimisées.

  Un lieu réconfortant, où l’on peut se sentir accueilli·e, compris·e, même sans dire un mot. Je m’inspire de mon quotidien, de mes échecs, de mes peurs aussi, mais surtout de mon hypersensibilité et de mes émotions. Je les transmets avec délicatesse à travers chaque création. Car je crois profondément que l’élégance peut être une forme de tendresse, et la vulnérabilité une forme de courage.

  Et j’ai choisi de le faire à travers des objets simples, mais porteurs de sens : des tee-shirts, des mugs, des foulards… et pourquoi pas, plein de surprises. Des objets pensés comme des câlins du quotidien.

  Au-delà de la marque, c’est mon histoire, ma sensibilité, et mon envie sincère de prendre soin de nous qui se trouvent au cœur de chaque création.

• Pour qui ? À celles et ceux qui cherchent un refuge

  Clinique Émotionnelle s’adresse à celles et ceux qui ressentent trop, trop souvent, trop fort, qui vivent dans la nuance.

  • À ceux qui n’osent pas toujours dire "je vais mal", mais qui en portent les traces.

  • À celles et ceux pour qui la douceur est un besoin vital, pas un luxe.

  • À ceux qui cherchent un espace lent, tendre, attentif.

  • À celles et ceux qui cherchent de la douceur dans un monde bruyant.

  • Qui veulent ralentir, respirer, se reconnecter à soi.

  • Qui ont besoin de tendresse, même dans un mug ou un tissu.

  • Qui veulent consommer autrement : avec sens, avec soin.

• Ma façon de prendre soin de toi

  • Je ne cherche pas à suivre les tendances.

  • Je cherche à créer du lien.

  • Je ne veux pas vendre un produit.

  • Je veux offrir une présence.

  Clinique Émotionnelle, c’est une main tendue.

  • Pour eux.

  • Pour toi.

  • Pour moi.

  • Pour nous.

  • Pour tous ceux qui ne savent pas toujours mettre des mots sur ce qu’ils vivent, mais qui savent le reconnaître quand ils le ressentent.

  • Un rappel que tu as le droit d’aller doucement.

  • Et que, quoi que tu ressentes, tu n’es jamais seul·e.

 En ce moment, mes petits rituels.

• Ce que je lis

  Les Vertus de l’échec – Charles Pépin
  Un livre comme un baume, une invitation à réconcilier échec et beauté.
  Il m’apprend à voir dans mes chutes non pas des failles, mais des tremplins.
  À ne plus craindre le faux pas, à l’habiter.
  À comprendre que tomber, parfois, c’est apprendre à mieux se relever.

• Ce que j’écoute

  Charles Pépin, encore. Mais cette fois dans mes oreilles.
  Ses podcasts sont comme des pauses nécessaires, des souffles philosophiques.
  Et Louise Aubery, pour sa justesse, sa façon d’aborder le féminin sans artifice, avec force et vulnérabilité.
  Deux voix, deux univers, mais une même envie de faire du bien à l’âme.

• Ce que je bois

  Le matin, je bois du matcha avec du lait d’avoine.
  Un rituel doux et vert, presque sacré.
  Un moment suspendu, entre le calme et l’énergie.
  Ce n’est pas juste une boisson, c’est une façon de me dire bonjour. De me reconnecter à moi, avant le tumulte.

• Ce que je porte

  La Nuit Trésor de Lancôme.
  Un parfum enveloppant, presque velours.
  Sucré, mystérieux, profond.
  Il laisse derrière moi un soupçon de nuit et d’intensité.

Merci d’être là. Merci de ressentir. Merci d’exister.